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ville de vanves - Page 921

  • LA TROUPE SCOUTS D’EUROPE DE VANVES CHERCHE A RENFORCER SA MAITRISE

    La troupe de 24 louveteaux des Scouts d’Europe de Vanves est animée par une maîtrise composée de Frédéric Néouze, Alexis et Jean Bernier qui cherche à recruter un quatrième pour encadrer ses jeunes de 8 à 12 ans

    Ses trois grands chefs viennent d’arriver à la tête de cette meute font un véritable travail auprès de ses jeunes que l’article précédent a décrit,  dont ils ne verront pas le résultat tout de suite. Frédéric Néouze s’occupait des 12/17 ans avant d’arriver à Vanves où il a pris en main cette meute en tant que chef d’unité, scout depuis l’âge de 8 ans. Pour Alexis et son frére Jean, c’est le souhait de revenir dans le scoutisme depuis un certain moment.  « L’occasion n’est présenté à nous quand on a vu l’annonce dans Sel et Lumière de la recherche de chef pour éviter de fermer la meute » expliquent ils.

    « Nous sommes dans un mouvement dont l’un des cinq buts est le sens de Dieu. On est persuadé, tel que l’a conçu le pére Sevin notamment, que la place de Dieu est centrale. L’homme n’est pas seulement  un esprit mais il a aussi une âme et on ne peut pas faire grandir séparemment ces éléments. De fait, il y a une prière au début et à la fin de chaque activité. Et le dimanche, si nous avons une activité, nous allons à la messe, et nous leur apprenons le sens de tout cela. Nous avons un conseil religieux plutôt qu’un aumônier qui a la charge de l’âme, alors que dans le mouvement, ce n’est pas le prêtre qui a la charge de l’âme des louveteaux, mais c’est le chef d’unité qui est chargé de faire grandir l’âme de ces gaçons . Et pour m’aider  j’ai un conseiller religieux. A Vanves, c’est lepére- curé » indique Frédéric.  

    « Nous cherchons à étoffer l’équipe de la maîtrise à 4 au lieu de 3 afin d’avoir un chef par sizaine, notamment lorsqu’on fait des jeux, puisque la troupe compte 24 louveteaux dont 4 sizaines. L’engagement que l’on prend est basé sur la promesse scout qui dit « sur mon honneur et avec  la grâce de Dieu, je m’engage à servir de mon mieux, Dieu,  l’église, ma patrie et l’Europe, à aider mon prochain en toute circonstance et à observer la loi scout ».  Il y a une notion de service qui est très importante. On n’est pas là pour faire du para militaire, ce que l‘on a envie, mais pour suivre une pédagogie, parce qu’elle a été éprouvée, qu’elle est bonne et qu’elle fait grandir effectivement. Après il y a un investissement dans le temps parce qu’il faut préparer l’activité, avoir la disponibilité pour les parents qui se posent des questions. C’est un mouvement de co-éducation, c'est-à-dire que pour les scouts, le premier éducateur, ce sont les parents, mais on est là pour les aider dans l’éducation de leurs enfants. Ce lien avec les parents est important. Car comprendre l’environnement dans lequel vit un garçon permet de mieux comprendre comment il fonctionne et l’aider à mieux grandir. Mais on n’oublie pas de s’amuser avec eux à faire ses activités, avec beaucoup de plaisir ! »

  • LA TROUPE SCOUTS D’EUROPE DE VANVES : 26 LOUVETEAUX APPRENNENT PAR LE JEU A DEVENIR DES HOMMES

    Le scoutisme est présent à Vanves grâce à une troupe de 24 louveteaux des Scouts d’Europe animée par une maîtrise composée de Frédéric Néouze, Alexis et Jean Bernier qui cherche à recruter un quatrième pour encadrer ses jeunes de 8 à 12 ans  afin de constituer 4 sizaines

    Auprès de ses 8/12 ans, ils développent une pédagogie dérivée, basée sur l’imaginaire du livre de la jungle, de Rudyart Kliping,  de manière à ce que les enfants puissent se référer à un modèle, un exemple à suivre. « Tout tourne autour de cet imaginaire. On les appelle les louveteaux, avec un chef, Akela, vieux loup, Bagheera la panthère noire, et Balou l’ours. A chaque fois, nous racontons une histoire avec des jeux. Tout est tourné autour de la pédagogie, le but est de faire grandir ses enfants. Ce n’est pas uniquement un centre aéré. On est là pour qu’ils deviennent des hommes » explique Frédéric Neouze,chef de l’Unité, c'est-à-dire  responsable de la Maîtrise et de la troupe en rappelant que « Les Scouts d’Europe est un mouvement qui a été fondé au milieu des années 1950 après guerre, par des hommes  qui étaient persuadés que la paix en Europe passeraient par l’union des peuples. Ce mouvement qui se réclame de la pédagogie de Badin Powell  est présent dans 15 pays et a été lancé en France par le pére Sevin, Jésuite dont Badin Powell disait que « c’est celui qui a le mieux compris ce que je voulais faire ! ». Nous sommes toujours dans cette filiation là ».

    Les cinq buts du scoutisme sont le sens concret, le sens des autres, le sens de Dieu, la santé et le développement du caractère. « Nous travaillons là-dessus, avec bien sûr la vie et la nature. Nous sommes très souvent dehors et le but est que les louveteaux puissent se dépenser grâce à des choses qui sont adapté sà leur âge, avec une pédagogie qui est d’apprendre par le jeu » explique t-il lors d’une sortie dans le parc F.Pic voilà plus d’un mois. Ce jour là, ils ont commencé par une histoire pris dans le livre de la jungle – « ceux qui ne font pas de bruit, les yeux qui voient dans l’ombre, ceux qui portent ses signes  sont mes fréres » - sur lesquels la Maitrise a fait réfléchir  les louveteaux lors d’un « Conseil Rocher » en  demandant comment ils peuvent l’appliquer. Après un échange pour savoir comment ils ont compris l’histoire, pour qu’ils donnent leurs idées sur comment le mettre en place. Et ils pris une résolution pour l’activité en disant « pendant l’activité, à tel moment, on va mettre en place « faire silence » pendant la chasse (le jeux), qui a toujours un rapport avec l’histoire,  c'est-à-dire ne pas faire de bruit plus que nécessaire » a-t-il expliqué. Le jeu consistait à retrouver Mowgli à travers différentes épreuves : Des petits ateliers pour lerur rappeler deux techniques dont le sémaphore, puis une chasse…avec  un jeu d’approche sans faire de bruit, délivrer mogwli dans un endroit sombre à partir du principe du jeu du sous marin, avec la danse de kaa  au final

    Ainsi,  chaque sortie, donne lieu à une nouvelle histoire, mais aussi un travail sur une valeur de jungle – sur le silence lors de cette sortie,  sachant que durant tout ce trimestre, ils ont travaillé sur la fraternité, en ayant commencé sur l‘accueil, puis l’unité, l’appartenance au groupe, et là le silence. « A chaque fois nous définissons un thème par activité avec une sagesse de jungle que ce soit  au parc F.Pic, au bois de Clamart…sur un rythme de quinze jours, sauf pendant les vacances scolaires, un camp étant organisé pour les grandes vacances, durant 5 jours consécutifs. C’est pour beaucoup, la première fois que les louveteaux quittent le domicile familial, et c’est parfois difficile. C’est apprendre l’autonomie qui n’est pas toujours évident, surtout pour ceux qui n’ont pas fait de colonies de vacances ou de classes de neige. 5 jours sans les parents, à dormir sous tente à faire la cuisine au feu de bois, c’est complètement dépaysant. Pour la Maîtrise, c’est très exigeant et fatiguant.   Moins d’activité, on perdrait le bénéfice du travail éducatif, et cela deviendrait du centre aéré, parce qu’il faut de la continuité »

    A suivre...

  • UN SCHEMA REGIONAL VEUT DENSIFIER ENCORE PLUS VANVES ET GPSO !

    Le second gros dossier étudié par les conseillers territoriaux de l’EPT (Etablissement Public Territorial)  GPSO (Grand Paris Seine Ouest) le  8 décembre dernier concrernait le schéma régional de l’habitat et de l’hébergement lancé par Jean Paul Huchon voilà deux ans, sur lequel les collectivités locales doivent donner leur avis, tout au moins les départements et les territoires comme GPSO

    L’EPT GPSO a émis un avis défavorable comme le conseil départemental des Hauts de Seine 92, car il est mis à contribution à hauteur d’une production de 2000 logements par an (38 000 pour les 12 EPT de la Métropole du Grand Paris ). « Le SRHH reproduit l’erreur de raisonnement du SDRIF : Il demande une densification du territoire alors que l’effort a déjà été en grande partie produit dans les Hauts de Seine, en particulier dans les communes proches de Paris et à l’occasion  de la mutation des grandes friches industrielles » constatait le conseil départemental  en comparant la densité dans  le  92 (9 062 habitants par km2) avec le 93 (6 572) et le 94 (5 526). « On veut imposer des taux de constructions impossibles avec des objectifs sans tenir compte du pourcentage d’habitants par rapport au pourcentage d’emplois, sans prendre en compte le manque de foncier »

    Il vise à l’échelle régionale un taux de 25% de logements sociaux avec un objectif de 37 000 logements sociaux en région dont  22 678 pour la MGP afin d’atteindre un taux de 30%. Les 4 EPT, dont GPSO, où le taux est inférieur à 25%,  devront particulièrement contribuer au rééquilibrage. A GPSO l’objectif de production de logements sociaux est de 1 351 par an pour atteindre  30%  en 2020. 1151 par an permet de répondre aux orientations aux orientations fixées par la MGP, 1083 au titre du rattrapage SRU. La production minimale en PLAI dans les communes assujetties au rattrapage SRU  (dont Boulogne par exemple) est de 325 logements sociaux par an, 758 pour la production minimale cumulée PLAI-PLUS. « 13521 logements sociaux neufs par an représentent 67,5% de la production totale de 2000 logements par an  attendu de GPSO. Ces objectifs quantitatifs et qualitatifs de logements sociaux  apparaissent peu réalistes et difficilement atteignables en perspective des objectifs arrêtés dans le PLH (500 logements sociaux  par an soit 25% de la production neuve totale auxquels s’ajoutent 150 logements en acquisition-amélioration dans le parc existant). Au vu de ces éléments, il existe un sérieux doute sur la capacité réelle de notre territoire à absorber de tels objectifs de logement compte tenu  de sa densité déjà élevée et donc de la rareté et de la cherté du foncier. De plus, l’application brutale de ces objectifs chiffrés, notamment en ce qui concerne le taux de 30% de logements sociaux  en stock à l’horizon 2020 induirait une augmentation massive de la production réelle, ce qui ne peut avoir que des effets négatifs sur la mixité sociale d’un territoire » indique le conseil territorial dans son avis.

    La répartition de logements  à réhabiliter (rénovation énergétique) du projet SRHH attribue à GPSO les objectifs de 300 à 400 logements privés individuels, 1700 à 2100 logements privés collectifs, 700 à 800 logements sociaux. Sachant que sur le territoire de GPSO, 22% des logements ont été construits après 1990. « Ainsi prés du quart des logements existants seraient difficilement mobilisables dans le cadre d’une politique de rénovation énergétique rendant difficile l’atteinte des objectifs du SRCAE. Par ailleurs les actions de professionnalisations dans le domaine de la rénovation énergétique apparaissent insuffisants. Trop peu d’entreprises présentent les garanties de compétence en matière énergétique auprés des particuliers malgré la promotion du label RGE